J’ai un petit chat. Une femelle. Un petit animal très doux et mignon qui passe son temps à dormir très tranquillement sur les fauteuils près du feu de cheminée. Cet été elle chassait des lézards puis somnolait sur la terrasse au soleil. Elle est calme et gentille. Un petit miaulement léger nous rappelle simplement à l’ordre si nous passons près d’elle sans la caresser.
Avant-hier, catastrophe : tout d’un coup elle s’est mise à miauler terriblement, des sortes de hurlements. Elle se tortillait et prenait des poses surprenantes, cul en l’air, victime de chaleurs intenses et brutales.
Nous nous somme précipités pour mettre la chatière en position fermée. Elle poussait d’épouvantables miaulements devant toutes les portes, a gratté sa chatière, l’a a demi démontée et a finalement réussit quelques heures plus tard à s’enfuir entre les pattes du chien qu’on faisait rentrer.
Que se passe t-il me direz vous ? Lassée par vos propres obsessions vous transformez le thème de votre blog ? Le désir d’augmenter sa visibilité vous pousse à élargir le champ de vos mots clés ?
Et bien non ! figurez vous que mon plaisir de faire des amalgames ne trouvant maintenant aucune limites,devant ce chat hurleur je me suis dit bon sang mais c’est bien sûr :
L’islam est en chaleur !
Si on part du principe que, tel un animal apprivoisé mais encore un peu sauvage, l’islam fonctionne par cycles à la manière des chats, on peut dire qu’après une période relativement apaisée, l’islam s’excite et veut se reproduire. Les cris d’allaakbar en sont les miaulements affreux. La position du chat n’est même pas à décrire. Et enfin, comme l’animal rendu fou par l’appel de la nature, qui se précipite entre les pattes de Médor rentrant ,pour sortir, les islamistes foncent pour entrer entre les jambes des dictateurs en fuite.
Allo, le véto.