L'épandage.... pour lutter contre tous les racismeS
Afin de lutter contre le mal épidémique qui ralentit la progression vers l'état de santé parfait correspondant au silence des organes ( et connu aussi sous le nom de " vivre ensemble"), nos docteurs folamours, suivant les conseils de Bruxelles, nous traitent depuis déjà quelques années avec de fortes doses de "calmants".
Ces calmants, qui appartiennent bien entendu à la classe des "psychotropes" sont destinés à faire cesser plusieurs symptômes inquiétants et polymorphes, que pour la clarté de l'exposé on peut tenter de ranger comme suit :
Le délire : qui consistait à croire que l'immigration était en forte progression et que notre société entière en serait modifiée.....et qui dorénavant consiste à penser que ces modifications effectives ne sont pas une amélioration.
La vue trouble : qui consistait à croire que le blanc n'avait rien de particulier ....et qui dorénavant consiste à ne pas admettre que les gens de couleur méritent systématiquement l'avantage.
Les troubles auditifs qui consistaient à considérer une langue étrangère comme étrangère...et qui dorénavant consistent à ne pas entendre que l' arabe, c'est du français.
La confusion, qui consistait à penser que l'islam radical était en progression dans les pays musulmans...et qui dorénavant consiste à croire que l'islam de France a quelque chose à voir avec l'islam d'Ailleurs.
On le voit, il s'agit d'un grand nombre de symptômes de "mauvaise santé mentale", qui longtemps limités à une logorrhée sur le net, semblent avoir débordés de ce cadre au moment des présidentielles : comme si, finalement, les calmants n'avaient pas été assez efficaces.
Et pourtant ! Que de calmants, et à de fortes doses, auront été essayés !
Le traitement par calmant doux, ( à la tolérine) , nous incitant à être gentils toujours, quoiqu'il arrive, n'ayant eu d'effets que sur ceux d'entre nous qui n'en avaient pas besoin, nos élites soignantes sont rapidement passés à l'utilisation de molécules plus agressives.
Des calmants de "nouvelle génération", (à la réécriturine : modificateurs de l'histoire) ont été appliqués, afin qu'une sorte de camisole de force, psychique, mette un terme à notre agitation et nous laisse prostrés au sol dans un état de honte paralysante.
Ne pouvant nous les faire avaler à chacun individuellement, ces traitements ont été déversés sur nos têtes par la technique de l'épandage, sous la forme de films, émissions, débats, discours, livres...etc, tous destines à nous faire réaliser que la civilisation occidentale n'existait pas, et que c'était tant mieux parce qu'elle était au mieux minable et au pire criminelle.
Les docteurs folamours ont également déversés sur nous des tonnes de "documents" destines à nous faire penser que nous devons tout aux nouveaux français, présents et à venir, pensant nous faire baisser la tête et accepter "l'Autre" avec, non seulement bienveillance, mais respect.
Ces traitements étaient destinés à faire de nous de xénophiles autophobes .
Nous devions donc courber l'échine et aimer systématiquement l'étranger.
Or, non seulement l'efficacité n'a pas été totale ( nous en sommes la preuve) mais il y a pire :
Le traitement psychotrope ayant été déversé sans distinction sur toutes les têtes, les nouveaux (et futurs) français à qui il n'était pas destiné l'ont également reçu, et sur eux il a eu un effet très excitant :
Certains ont entendus que nous devions nous taire, et ils l'exigent.
Certains ont entendus qu'on leur devait tout, et ils l'ont cru.
Le souchien n'est pas encore prostré, loin de là, mais l'immigré glorifié de toutes les vertus nous considère dorénavant comme endettés envers lui d'une dette que nous ne pourrons jamais payer.
Bien pire que celle en euros, que nous sommes censés rembourser pour combler les déficits, c'est une dette "morale", fruit de nos soi-disant péchés et de ceux de nos ancêtres, autant qu'une dette matérielle, fruit de nos soi-disant pillages et des cadeaux que nos prédécesseurs auraient reçus.
En voulant nous pousser à l'amour de l'Autre, nos dirigeants ont poussé l'Autre à réclamer ce qu'ils croit dorénavant être son dû et qui est abyssal.
Par l'invention de cette dette factice, on a fait de nous d'éternels débiteurs, mis en face d'éternels frustrés.
Ce n'est plus à l'immigration que nous faisons face, mais à l'afflux de ceux qui ont été désignés comme nos créanciers.
Bref, il y a dans ce pays une facture^^...et je serais surprise qu'on s'en sorte sans bruit.