Dans une vidéo mise en ligne par Didier Goux dans laquelle on entend des antisarkosistes s’exprimer, j’ai entendu un sympathique monsieur à la barbe très socialiste dire, je cite :
« Je n’ai pas envie d’avoir le droit de dire « casse toi pov con » au président. J’ai envie d’avoir un président à qui je n’ai pas envie de dire « casse toi pov con »
Et oui, il veut seulement un président qu’il ait envie de respecter.
J’ai trouvé ça formidable, et tellement juste :
Mais… (Vous vous doutiez qu’il y aurait un mais), j’ai envie de dire :
Oui, absolument, et… NOUS AUSSI !
Nous aussi, cher gauchiste, nous n’avons pas envie de dire « à bas l’immigration » mais seulement de recevoir des immigrés auxquels nous n’aurions pas envie de dire « à bas l’immigration »
Nous avons envie de ne recevoir que des immigrés que nous pourrions avoir envie d’accueillir parce qu’ils souhaiteraient s’intégrer aux manières françaises et non pas importer leurs manières étrangères en France.
Nous avons envie d’immigrés que nous pourrions vouloir assimiler parce qu’ils voudraient s’assimiler au lieu de vouloir modifier toute la déco et le règlement intérieur.
Nous nous avons envie que les musulmans transforment leur religion de telle sorte qu’on ait pas forcement envie, si on est à peu près normal, que les musulmans aillent ailleurs… très loin de préférence.
Nous avons envie que les enfants d’immigrés ne s’imaginent pas qu’étant nés français ils ont droit à un super boulot même en étant complètement illettrés, comme par magie, parce que quand on est français c’est magique, on réussit tout ou bien sinon c’est parce qu’on a été discriminé ; Car nous avons envie de ne pas avoir envie de leur foutre des claques.
Nous avons envie d’être super sympas avec des gens super sympas, d’être super tolérants avec de gens super tolérants et super amicaux avec des gens qui nous donneraient envie d’être super amicaux.
Nous avons envie de ne pas avoir envie de pleurer quand on entend le mot multiculturalisme.
Et surtout, surtout nous avons envie de ne plus avoir envie de dire « mais arrêtez de venir et les autres, mais cassez vous pauvres cons !».